réception suivant le meurtre

Une femme s'indignia d'une des répliques du jeunes Adam. Elle haussa le ton et dit :

''Les humains sont capables des pires atrocités! ''

Un autre homme lanca:

'' Je crois que le comte ne cache rien. C'est un homme bon et il nous la promis a plusieurs reprisse! Il est intelligent et réfléchis, et il veut le bien du peuple.''

Certain appuya sont argument. Les gens du comté adorait le Comte.

Adam se reprit en disant:

Je n'écarte pas la possibilité des humains, loin de moi cette idée! Je dis seulement qu'il ne faut pas se détourner des autres possibilités. Je suis même d'avis que se soit des gens qui aient fait cela. Mais le crime est mystérieux vous devez l'avouer...

Il avait dit cela en regarda la jeune dame, espérant qu'elle répondrait et ferait avancer un peu la discussion qui... stagnait...

Le Sage répondit à l'homme qui disait que le comte ne leur cachait surment rien en disant simplement:

C'est peut-être justement puisqu'il aime le peuple qu'il cache certaine chose.

L'homme fixa le veillard et lui répondit:

'' J'ai foi en cet homme. J'ai une pleine confiance en lui. Combien de fois a t-il partager ses richesses avec les plus démunis? Combien de fois a t-il proteger nos gens des brigands étrangers? C'est de loin un des plus pauvres nobles de la France, mais il devient ce qu'un vrai dirigeant de peuple devrait avoir l'air!''

Encore une fois, des gens appuya ses sages paroles.

Adam trouvait réellement que la discussion déraillait.

-Messieurs, nous sommes ici pour trouver des pistes qu'en à l'identité du coupable, pas pour débattre de nos opinions.

Plus doucement il poursuivit:

-Quelqu'un à une idée sur la façon dont le coupable s'est infiltré dans l'église?

"Pour s'infiltrer...il faut une clée dans le plus simple des cas. Nous pouvons donc soupconner tout ceux qui auraient la clée de cette église"

Elle disant cela, elle avait regardé frère Justin, sans pourtant porter un regard acusateur.

"Les étrangers ne sont pas non plus à laisser de côté"

Son regard se porta vers Adam.
"Mais nous pouvons tous être des suspects..."

Elle regarda le reste des gens présents, arrêtant plus particulièrement son regard sur les hommes.

Il répondit à la dame:

-Je crois que vous avez mal saisi le sens de ma question. Si nous supposons que le meurtrier ne possédait pas la clef, je ne vois pas comment il a pu pénétrer le batiment. Détromper moi s'il le faut, mais aucune porte n'a été forcé et je ne crois pas que les fenêtres puissent s'ouvrir sans être brisés...

"Ce que vous soulevez la est absurde... si lui n'avait pas la clée, il connaissait quelqu'un l'ayant.... ne nous aventurons pas en dehors du domaine du réel et du concret; sinon, autant supposé que le meurtre a été commis par le malin!"

Il fit une moue déconcertante:
-Ce que je soulève, chère dame, n'est nu l'autre que ce que certains pense tout bas et que d'autres ont tenter de glisser dans la discussion tout à l'heure. À mon avis, ce sont des gens "bannales" qui ont fait cela. Mais je préfère songer à toute les évantualités. Je ne voulais offencer personne dans ces dires.

Je vous assure que personne a le clef pour cette porte car les deux seul exemplaire était en ma pocession mais l'église est vielle et quelqu'un ou quelque chose d'habile aurai peut-être pu passer par le clocher mais pour l'instant pourquoi ne pas se concentrer sur le fait que le conte de nous dit rien...

''Vous avez la langue bien fourchu, mon frère. ''

La voix provenait du hall qui menait à la salle de reception. Tout les gens présent fixa la porte et virent la silhouette au fond du couloir. L'homme portait une longue cape noir, et un grand chapeau fournit d'une plume blanche. Ses pas résonaient sur le marbre froid de l'endroit. Passant la porte il se débarasa de sa cape d'une seule main et de l'autre enleva son chapeau. C'était le comte Nathaniel en personne. Des aclamations fut lancer et le comte se pencha vers dame Juliette. Il lui prit la main comme tout gentil homme et lui baisa d'une facon modeste et non-déplacer.

''Merci de m'avoir inviter, très chère. Veuillez me pardonner de mon retard. J'était pris à un rendez-vous.''

Il regarda ensuite le frère et s'appuyant le dos contre une colone, il lui dit:

'' N'avons-nous pas déjà eu une conversation la dessus? Nécésitez-vous d'une nouvelle explication? Parce que je n'aime répéter quand pourtant j'ai été clair et qu'on dit avoir tout compris... Vous comprenez mon cher que vous faites perdre un temps précieux à tout ses gens?''

Elle reprit un air froid et demanda:

"Un conversation à propos de quoi? Avec tout le respect que je vous dois mon comte, je vous demande pourtant pourquoi vous fermez cette église... on ne ferma pas une église pour un simple meurtre... nous cachez-vous quelque chose?"

Sa voix était restée douce mais la demande était claire et ne laissait pas place à la discussion... et exigeait presque une réponse sur le champ

Nathaniel, quoique patient et compréhensif, poussa un soupir et se tourna vers Juliette. Son regard n'était pas dur, seulement un peu fatigué. Bien sur les gens l'ignorait, me cela fesait trois lune qu'il n'avait pas fermer l'oeil.

''Sachez ma chère Juliette, que feu Père Vincent, Dieu est son âme, était l'ancien propriétaire de cette église. Il m'a écrit avant de mourir qu'il me chargeait personnellement de veillez à ce qu'au moment ou le démon pénétrerait la chappelle, je me devait de m'assurer que ses priants se retrouve dans un nouvel endroit de confiance. De plus, le Père Vincent se plaignait toujours à ces visites hebdomadaires que son église était devenu trop petite. Ce n'était que son plus profond désir que de voir cette petite chapelle tombé pour construire une vrai église. Je ne fais qu'honorer sa mémoire, maintenant qu'il nous a quitté, il n'y a pas plus d'un mois. Si vous ne me croyez pas mademoiselle, j'ai le testament dans mes archives personelles. Vous viendrez voir par vous même si vous ne me faites pas confiance. Et la dite conversation à tout simplement été l'entretient que j'ai eu avec notre nouvel homme de Dieu, Frère Justin.''

Il prit une pause et esperait que la dame serait maintenant satisfaite de cette raison, car c'était la vérité. Il regarda l'assistance de ses yeux cernés, s'attendant à une autre réplique, car il y avait souvent autre exclamation.

Le frère Justin eu un léger sourire. Il regarda le conte et baissa la tête en signe d'exuse.

Sans être insultant je vous dirai que ceci est plus claire maintenent, car si c'était la velonté du père Vincent que j'ai aussi connue dans ma jeunesse je ne m'y interposeré pas. Je vous remerci de cette nouvelle car elle clarifie les esprits de plusieurs sur le meurtre horrible.

Les rumeurs cours entre la parole de dieu à la messe que vous nous cachiez quelque chose et maintenent je peux enfin les faire taire sans mentir à mon seigneur père si au placé.

En disant ces mots il avait pointé le ciel et avait montrer son fauteille des bras pour que le conte y prenne place. Il n'avait jamais vriament voulu contredir le conte mais il n'avait n'on plus pas été le meilleur élève pour la patience divine.

Le Sage parut soudain interressé. À l'entrée du comte, il s'était levé et s'était penché autant que possible étant donné son âge.

Des démons vous dîtes? demanda-t-il. Alors si je comprends bien, vous seriez d'avis qu'il s'agit d'une force plus puissante... Pourrais-je vous demander de nous éclairer un plus?

Le Sage semblait très intrigué.

Le comte fronca les sourcils vis-à-vis le veillard. Il reconu qu'il était avait un des homme présent dans l'église lors de son inspection. Et il lui répondit d'un ton tout à fait naturel:

''Ce n'était qu'une expresion! La vice, à moin que vous dites que le meurtre n'est pas un peché, à été souiller. C'est un outrage à la religion et à mon peuple. Pour moi la personne qui a fait ça à taché la mémoire des gens. Je ne désire pas que cette histoire reste graver dans la tête de nos jeunes enfants par la vu des traces de sangs inlavable et les poutre du plafond qui ont du être cassé pour enlever ses lourdes cordes! De plus nous réalisons le souhait d'un défunt en construisant une vrai église de pierre plus grande avec de beaux vitraux! J'ai déjà envoyer une missile a Rome pour avoir une subvention du pape.''

Le Comte prit une nouvelle pause alors qu'une rumeure naissait dans la populace présente.

Le comte ne prit pas place à l'endroit que lui avait montrer le frère, mais il prit bien la direction de la porte. Il regarda la foule et leur dis en guise d'au revoir :

'' Je dois malheureusement m'en aller. Je crois que cette soirée n'avancera pas plus loin qu'elle en est à l'instant. Rentrez donc chez vous, mes chers gens. La nuit est déjà assez avancer.''

Il jeta ensuite un regard sévere vers le veillard. Personne je savais pourquoi, le Comte aurait pu le regarder ainsi, mais peut-etre le veillard était-il perspicase et qu'il n'était pas encore assez sénile pour oublier un évenement fâcheux? Le comte remit son chapeau, sortit a l'extèrieur et rentra dans son carrosse, se dirigeant vers son manoir.

"Le comte a bien raison, et avec un meurtrier qui court, peut-être serait-il plus sage de ne pas trop s'attarder."

[i]Elle attendit que tous soit partis, les remerciant d'être venus.[i]

Aussi discrètement que son entrée, Carmë sortit pour se diriger au cimetierre. Il se demandait comment cette histoire allait bien se finir...

Merci beaucoup Miss Juliette pour votre si grande gentillesse. J'espère vous revoir bientôt.

Sur ce, il partit.